Pizza alla Puputanesca

Tata Jeannine

Me voilà de retour après quelques jours d'absence et d'abstinence; Bien entendu, la première chose qui me vient à l'esprit est d'annoncer à mon ami, mon âme sœur jumelle, mon inséparable Enzo que je suis de retour. Nous convenons d'aller manger une pizza. Je le trouve assez distant, insolent voire même agressif à mon égard: est ce une façon de me montrer que je lui ai manqué?, a t'il des griefs contre moi? je ne supporte pas de le sentir comme ça ! nous si proches, on se dit tout, je sents qu'il a quelque chose.... mais bon, à la lecture de ces lignes il s'empressera de prendre son téléphone et de m'appeler en me traitant de pute....

Et bin non, pas ce soir, pas moi.....je m'explique:

après ce fantastique diner je rentre gentiment à la maison et décide comme tous les soirs de repartir aussitôt balader mon chien. Même itinéraire, même endroits où ce dernier lance une fabrication de churros bien chauds. Je longe une haie quand j'aperçois au loin la silhouette de pupute. C'est Enzo qui l'a baptisé de ce sobriquet et c'est moi qui l'ai traité comme tel. Les conventions de ce blogs m'empêchent de raconter mes plans passés... trop de temps serait nécessaire....

Bref, arrivé à ma hauteur, pupute me lance un bonsoir, je réponds salut et je continue mon chemin. En me retournant, j'aperçois qu'il pousse un portail. Je continue mon chemin.

Pupute a faim: il est 22H30, nous sommes dimanche et Pupute n'a pas sucé de bite de tout le week end. Le chien se décide à éjecter son churros du soir ce qui me laisse du temps pour observer le manège; pupute traine, semble chercher un endroit en extérieur: OHHH coco, on est en février, trouve une autre solution: il repars vers son immeuble et je décide de le suivre: le portail est resté ouvert, je rentre dans la résidence mais la porte d'entrée de l'immeuble est fermée: gros con ! et je repars. Là j'entends des volets qui se relèvent et la gueule de pupute apparait me disant: " attends, je vais t'ouvrir...."; il revient dans le hall, ouvre, me fait rentrer avec mon chien et me demande si mon chien est gentil car il a lui même un york.... je me dis mais qu'est ce que j'en ai à foutre de ton clébard de merde.

Je rentre dans cette piaule qui pue la clope: un studio miteux avec un thème pourri qui ressort partout: l'indouisme ( partout: sur les murs, sur les meubles, sur les tissus pourris accrochés aux murs.....)

j'ai déjà ma queue entre les mains en train de bander super dur, il se mets évidemment à genoux et commence à me pomper; je regarde partout en gémissant de plaisir, en pensant à mon Enzo à qui je vais raconter la scène pathétique que je suis en train de vivre. Il se dessape... putain mais il perd du temps là!!!!! des secondes perdues qu'il ferait mieux d'utiliser à me pomper....Non, monsieur décide de se mettre à poil; il est tout ce que je déteste: maigre, blanc, imberbe, cagneux et il a une bite naze ( à peine je la regarde, j'ai envie de gerber ) ce con a même un tatouage qui représente un dieu indien.

Ma pupute s'assoit dans un pseudo fauteuil, moi sur le coté, je lui appuie sur la gueule pour qu'il se concentre sur ma queue et qu'il se l'avale toute en travers. Je me tripotte les seins et là il décide de se lever ( et encore une autre perte de temps ) pour aller chercher du gel.???????? mais qu'est ce qu'il veut faire ce con, il espère quand même pas que je vais lui fourrer ma queue dans le fion ?

Non, il veut juste me mettre un doigt au cul: s'il savait !! moi, me prendre un doigt? je me prends des bonnes bites surtout, pas des doigts de merde comme les siens, en plus j'ai horreur de ça.

Il se remets enfin au taff en essayant de trouver mon trou de balles, pendant ce temps, je me branle en lui tenant la gueule fermement, je fais lui balancer la purée sur la joue. Me sentant venir, le fils de pute se jette sur ma queue et bouffe mon foutre, je savais qu'il avait faim mon pupute.

Il se branle et heureusement ça ne dure que 10 secondes avant qu'il balance 3 gouttes....je pense qu'à une chose c'est de me barrer....Il secoue la tête comme une hystérique faisant croire qu'il est content....je ne dis rien, j'ai pas envie de parler à ce con.

Il part à la salle de bain, revient me tendre une serviette et en me disant: " ohhh c'était super "; hummm, Super? c'est ça....... c'était à chier par la gueule plutôt ouais ! je me casse sans dire un mot, je parle pas aux médiocres.

Quelques minutes passent:  mon chien a eu une ballade un peu plus longue que d'habitude, il a reniflé le cul d'un york de merde et moi je me suis un peu vidé les burnes grâce à pupute: je déteste les dimanches soir.